Nous lui en avons fait part. Mais nous avons aussi vu comment la France pouvait user de son influence : ce n’est pas rien que d’avoir obtenu de la Chine un engagement de révision tous les cinq ans ! Cela, nous le devons à l’action de la diplomatie française, et du ministre, qui s’est personnellement impliqué. C’est un résultat considérable.
Si, à la Conférence de Paris, nous parvenons à une avancée décisive, pour limiter à deux degrés le réchauffement climatique, c’est le monde entier qui nous en sera reconnaissant. Alors je vous en prie, n’usez pas de faux arguments, ne mégotez pas sur les quelques petits millions d’euros qui sont demandés au Parlement pour l’année 2016.