Sur les dix dernières années, le nombre de boursiers potentiels mais non scolarisés, c’est-à-dire de jeunes dont les parents estiment que leur bourse serait d’un montant insuffisant pour leur permettre de scolariser leurs enfants, est resté stable : 8 %. La moitié de ces cas est due à des déménagements ayant entraîné un changement de circonscription, d’autres au choix des parents de scolariser dans le système éducatif du pays de résidence.
L’avis sur l’ensemble de ces amendements est donc défavorable, mais j’insiste sur le fait que l’engagement du Gouvernement est fort sur ce sujet.