Il s’agit de maintenir les crédits consacrés au fonctionnement de l’Assemblée des Français de l’étranger. Je crois que tout le monde est conscient que cette assemblée – présidée d’ailleurs par un élu de gauche alors que la droite y est majoritaire, ce qui prouve que, par moments, on est capable de tout – a une utilité profonde, ne serait-ce qu’en alertant les parlementaires et le Gouvernement de ce qui se passe sur le terrain dans d’immenses circonscriptions. Ainsi, heureusement que M. Mégrelis et que Mme Betton m’ont signalé ce qui se passe au lycée français de Moscou. De plus, je rappelle que l’Assemblée des Français de l’étranger se réunit désormais deux fois par an.