Je suis un des représentants de l’Assemblée nationale à la CNCTR – de manière évidemment non rémunérée. Je tiens à dire qu’il ne faut pas mésestimer l’aventure considérable que représente la mise en place de cette institution, la charge de travail qu’elle va avoir et le rôle important qui est le sien. Par rapport à la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité qui l’a précédée, ses responsabilités et son champ de contrôle sont sans commune mesure. La montée en charge de ses moyens est donc tout à fait normale.