Je soutiens cet amendement, car il est injuste que le dialogue, ouvert pour les villes de plus de 2 000 habitants, reste fermé pour les autres. D'ailleurs, ce n'est pas parce que les communes de plus de 2 000 habitants avaient la possibilité de sortir des syndicats d'électrification qu'elles l'ont fait. Simplement, les forces ont été rééquilibrées, et certains conseils municipaux ont pu positivement réorienter l'action des syndicats d'électrification, qui ont ainsi mis en place des bornes électriques pour les véhicules et les vélos à assistance électrique.