J'irai dans le sens de notre collègue Dominique Lefebvre. Cet article manifeste la volonté de soutenir notre industrie du cinéma, dont le développement rejaillit sur notre capacité à produire des films français. Certes, avec le soutien de la Caisse des dépôts et consignations, la Cité du cinéma a pu être créée, mais, faute de volume de production, elle n'est pas encore le Hollywood français.
Il n'y aurait que des bénéfices à ce que des films internationaux soient tournés en France, générant des ressources fiscales qui permettraient de financer d'autres films à budget moins important. Je suis donc partisan du maintien de la version initiale, voire de son élargissement aux oeuvres audiovisuelles, ainsi que devait le proposer un amendement de mon collègue Bruno Le Roux.