Tout d’abord, Mme Pires Beaune a raison : la vocation des départements est, plus que jamais depuis l’adoption de la loi NOTRe, de s’occuper de solidarité, notamment sociale.
Deuxièmement, leurs problèmes financiers proviennent surtout, précisément, du financement de ces allocations individuelles de solidarité.
Troisièmement, la loi NOTRe a essayé de clarifier et de rendre plus cohérentes les compétences des différents niveaux de collectivités : or cet amendement réintroduit de la confusion. Le fonds spécial d’investissement de 1 milliard d’euros est destiné au bloc communal.