Monsieur le ministre des affaires étrangères, ce mois de novembre est marqué par l’intensification de nos efforts et de notre mobilisation en faveur de la réussite de la COP 21. La France veut réussir ce grand événement qui doit permettre aux nations d’adopter un accord contraignant, limitant les effets du réchauffement climatique. D’ailleurs, mes chers collègues, le choix est simple et nous sommes tous convoqués devant le grand tribunal du climat. Il nous appartient de choisir si la planète sera notre procureur ou notre avocat, notre victime ou notre alliée.
Sous l’impulsion forte du Président de la République, la France conduit une action diplomatique d’une intensité remarquable.