Samedi prochain, je me rendrai à Vienne pour discuter de la Syrie. Mon collègue Zarif sera là, et je lui répéterai ce que je lui ai déjà dit il y a quelques jours, à savoir que sur le sujet, nous avons des divergences profondes. Nous considérons qu’il n’est pas possible qu’à terme, ce soit M. Bachar Al-Assad qui gouverne la Syrie, et nous considérons – point supplémentaire, monsieur Assad