J'émets un avis défavorable à l'adoption de votre amendement, monsieur Roumégas, et souhaite que nous en restions à la rédaction adoptée par l'Assemblée nationale, approuvée par Gérard Bapt. Il convient d'accepter de fixer des niveaux de concentration de phtalates, dont la littérature reconnaît en effet la dangerosité, car on ne sait pas se passer des tubulures existantes dans certains domaines, comme celui de la chirurgie cardiaque.