Si cet amendement n'était pas adopté, il faudrait mettre un terme à un programme de recherche mené à l'hôpital Cochin visant à développer une technique de neutralisation des enzymes responsables de la destruction de certains spermatozoïdes. Une telle technique, qui améliore la fécondation in vitro (FIV), est appliquée partout en Europe, sauf en France.