Monsieur Accoyer, nous parlons d'associations agréées d'usagers, de personnes qui ont l'habitude de suivre les dossiers de santé. Pourquoi refuser l'information et la transparence, et récuser les usagers ? Ce serait aller contre l'évolution du système de santé. Aujourd'hui, certains usagers vont jusqu'à participer à la définition des prises en charge. Le phénomène a d'ailleurs été compris par le ministère. Je m'étonne donc que des membres de la commission des affaires sociales s'y opposent d'une façon aussi catégorique.