Je souscris à ce que vient de dire Mme la rapporteure : il s'agit de s'interroger sur le rapport de chacun avec la mort. Or de nombreuses familles souhaitent encore pouvoir veiller leurs défunts à leur domicile. Cet amendement inspire de nombreuses inquiétudes. Il semble restreindre un peu plus les libertés et constituer une ingérence dans l'intimité de ces familles. Je me suis demandé s'il serait possible d'emmener le corps pour les soins avant de le ramener au domicile. Mais les coûts auxquels les familles doivent faire face s'en trouveraient triplés, ce que beaucoup ne pourraient assumer.