D’autres puissances ont essayé avant nous de lutter contre le terrorisme, mais ces puissances, plus puissantes que nous, – pardonnez-moi cette répétition, mais il n’est pas d’autre moyen de le dire – ont échoué et je crains que nous ne prenions le même chemin. J’espère vraiment, chers collègues, et je voudrais que nous en fassions ensemble le voeu, que nous consacrerons dans les mois et les années qui viennent, des moyens financiers et humains à ce qui fait notre force, à la fraternité que nous portons en étendard, au sport, à la culture, à la cohésion sociale, à l’urbanisme et à la destruction des ghettos. J’espère que cela nous permettra de nous retrouver sur d’autres textes, comme sur celui que nous examinons ce soir, qui fait l’unanimité et qui va dans le bon sens.