Même avec le coeur lourd, monsieur le Premier ministre, madame la ministre de la santé, je pourrais vous interroger sur votre politique de santé, que nous jugeons sans cap ni vision, mais je ne le ferai pas car l’heure est à la concorde.
Face à la souffrance du peuple de France, on ne dit jamais assez à ceux qu’on aime qu’on les aime. Eh bien, mes chers collègues, nous tenions à dire combien nous aimons notre système de santé français.