Attendez, pardonnez-moi : je ne parle pas de la semaine dernière ni de la période récente. Je parle d’une autre période, déjà ouverte, et de l’effort que constitue, pour les départements, l’accompagnement des mineurs isolés étrangers. Bon nombre des départements font remarquer que le nombre d’entrées de ces mineurs est de plus en plus important.
Pour ces raisons, je considère que le point d’équilibre qui avait été trouvé avec les députés en première lecture doit être respecté en deuxième lecture. C’est la raison pour laquelle j’émets un avis défavorable sur ces amendements qui visent à revenir sur ce que nous avions construit, ensemble, en première lecture.