Pour répondre à Mme Poletti sur nos conditions de travail, je voudrais rappeler ce qui a été dit par la présidente de notre commission des affaires sociales au début de nos travaux tout à l’heure. Les modifications de notre ordre du jour ont été apportées en raison de l’actualité. Si la proposition de loi n’avait pas été examinée aujourd’hui, elle l’aurait été demain. Par rapport à l’examen de ce texte, ce ne sont pas vingt-quatre heures qui changent les choses.