Cet amendement, le deuxième déposé par notre groupe, vise également à renforcer les contraintes pesant sur l'individu qui fait l'objet d'une assignation à résidence. Il semble nécessaire que le ministre de l'Intérieur dispose de la faculté d'assortir cette assignation à résidence, dans les cas qu'il déterminera et sous le contrôle du juge administratif, d'un placement sous surveillance électronique, en complément des obligations de pointage au commissariat.
Nous pensons qu'il est très important d'adopter cet amendement.