lesquelles souhaitent que l’on se penche de nouveau sur la législation antiterroriste.
Nous devons en effet nous assurer que des moyens exceptionnels soient déployés pour répondre à l’urgence, mais quelles sont la vocation et la durée de cette dernière ?
Une période de deux mois, couvrant à la fois la COP 21 et la commémoration des attentats du 11 janvier, semble suffisante pour agir, enquêter et rassurer nos concitoyens, tout en sachant qu’un réexamen de la situation est possible ensuite.
Nous légiférons dans l’urgence, laquelle n’est pas toujours bonne conseillère en la matière.