Je remercie M. Urvoas, dont les compétences juridiques sont bien supérieures aux miennes. En effet, cet amendement ne concerne que la crise actuelle. Elle est suffisamment grave, hélas !, pour nous occuper pendant un certain temps.
Je tiens à dire devant vous tous combien je remercie le Premier ministre d’avoir compris le sens de cet amendement, qui était précisément d’adresser un message d’efficacité à nos concitoyens. Il est bon que, tous ensemble, nous votions la possibilité de proroger l’état d’urgence dans trois mois, si c’est nécessaire.