Cet amendement vise à limiter, dans la loi de 1955 que nous sommes en train de réformer, la prorogation de l’état d’urgence à trois mois. Cette durée deviendrait une sorte de norme législative, qui n’empêcherait naturellement pas une nouvelle prolongation ou une réactivation de la procédure mais qui marquerait son caractère exceptionnel.