Nous avons pu avoir l'impression que, pour les jeunes générations, le féminisme appartenait au passé, les grands combats sur l'avortement, la liberté sexuelle, la parité, l'égalité professionnelle ayant déjà été menés même s'ils ne sont pas achevés. Pensez-vous que cette activité foisonnante des cyberactivistes peut alimenter le féminisme dans sa forme historique ou bien crée-t-elle une nouvelle forme de féminisme ? Ces cyberactivistes sont-elles conscientes que les combats sont liés ou ont-elles une vision plus fragmentée des enjeux ?