Ce droit à l'oubli suppose d'effacer photos, vidéos et messages. Pour le rendre effectif, il faut responsabiliser les fournisseurs d'accès mais aussi les grandes entreprises de l'industrie du numérique comme Facebook. Delphine Reyre, directrice des affaires publiques de Facebook pour la France et l'Europe de Sud, a eu recours, lors de son intervention dans l'une de nos conférences, à l'argument du manque de moyens face aux 1 milliard d'utilisateurs. Il faut inciter ces entreprises à développer des solutions techniques permettant d'identifier les comportements de harcèlement mais aussi les encourager à agir pour y mettre fin.