Monsieur Tian, en accord avec le vice-président de la commission mixte paritaire, j’ai laissé chacun s’exprimer lors de la réunion. Si celle-ci avait duré deux heures, je ne m’y serais pas opposée. Mais, au bout d’une heure, plus personne ne levait la main pour demander la parole. À qui vouliez-vous que je la donne ? À personne ? Cela n’existe pas dans un débat.