Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de cette réponse précise, et j’en prends acte. Si j’ai bien compris, le maintien des urgences est confirmé. En ce qui concerne le plan de restructuration, le compte n’y est pas tout à fait, vous en conviendrez, par rapport à la subvention que j’avais obtenue de la part de Xavier Bertrand. J’aimerais que l’État fournisse un effort supplémentaire, de sorte que l’on arrive au taux de subvention de 60 %, qui avait été prévu pour cet investissement indispensable pour les habitants du Cantal du nord et de la Corrèze voisine – ancienne circonscription du Président de la République, soit dit en passant.