Merci de ces informations et de ces explications, monsieur le secrétaire d’État. Je précise toutefois que le cas de Malakoff est particulier en raison de l’addition de plusieurs sources de nuisances sonores, celles dues au TGV s’ajoutant à celles dues au métro aérien et au Transilien. Si j’insiste sur ce point, c’est que je souhaiterais que les références retenues pour mesurer les nuisances sonores prennent en compte cette accumulation.