Je crois donc que sa langue a fourché. Je ne peux pas comprendre autrement qu’il laisse entendre, à la fin de son propos, que nous profiterions de la situation des attentats. C’est ce qu’il a dit. Ce n’est pas acceptable ! C’est pour le moins maladroit. Il nous dit que nous voulons faire voter cette loi à la va-vite, mais l’examen en nouvelle lecture a seulement été repoussé d’une semaine ! Je le répète : je suis prête à passer autant de temps qu’il est nécessaire et que vous le souhaiterez à discuter de chacune des dispositions de ce texte.