Bien que les expressions employées au cours de notre réunion n'aient pas dérogé à ce que l'on peut attendre dans un tel cercle, votre appel à la raison et au calme s'avère tout à fait pertinent, madame la présidente. En revanche, il n'est pas facile de conserver un ton neutre lorsque l'on entend un haut fonctionnaire de l'État, dont je respecte pleinement la carrière et la personne, affirmer le contraire de ce qu'il a dit devant notre Commission le 21 octobre dernier.