Je précise – et je tiens à ce que le Gouvernement écoute cette remarque – que le dossier est validé par deux médecins : un médecin scolaire et un médecin de l’éducation nationale. Alors que le Gouvernement prône le choc de simplification, ce que je propose est très simple : il s’agit de donner plus de responsabilités aux médecins scolaires et aux directeurs d’établissements pour que les adaptations puissent être mises en place directement sur le terrain, sachant que le rectorat aura toujours la possibilité d’effectuer des contrôles s’il le souhaite.
Étant donné qu’une évaluation est menée en ce sens, je souhaiterais donc que le Gouvernement puisse appliquer à cette procédure le choc de simplification.