Il me semble important de rappeler, monsieur Daniel, que le texte prévoit la participation d’un représentant du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le CNLE, au conseil d’administration du Fonds. Or les associations de chômeurs siègent au sein du CNLE, où je me rendrai demain à l’occasion de la réunion de tous ses membres : cela me donnera l’occasion d’exprimer mon souhait que le représentant du CNLE soit issu d’une association de chômeurs, avec lesquels il pourra ainsi faire le lien. Depuis ma prise de fonction, je rencontre tous les deux mois les cinq associations de chômeurs, lesquels pourront donc être intégrés à travers leurs institutions représentatives.