C’est la réalité qui est énervante, monsieur Lamour ! Il suffit de regarder les dernières cessions qui ont été faites et les profits qui en ont résultés. La question est de faire un choix, et celui qui a été fait il y a quelques années est de favoriser la cession.
Récemment, deux sénateurs ont regretté que la loi ne soit pas bien mise en oeuvre. C’est qu’elle se heurte à de nombreux blocages. Dès lors que les biens publics sont valorisés à un prix excessif, leur cession n’aboutit pas, et on les voit se délabrer. Je l’ai constaté récemment pour des biens situés au centre de Bordeaux. La situation devient irresponsable.