Il faut que nous restions très fermes sur l'objectif, et les responsables des groupes industriels, notamment français, ont bien compris que ce processus était inéluctable. Il s'agit simplement de fixer un bon délai d'adaptation. Compte tenu du poids des flottes d'entreprise dans l'ensemble de la production automobile, un délai de deux ans, comme vous le proposez dans votre amendement, monsieur Baupin, risquerait d'aboutir à un basculement extrêmement rapide. Nous préférons en rester à un délai de quatre ans. Si ce n'est pas l'année prochaine, ce sera l'année suivante que la disposition produira son plein effet économique.