Ce que nous souhaitons, à travers ce mécanisme, c'est inciter les entreprises disposant de flottes à acheter plus de véhicules à essence et moins de véhicules diesel. Aujourd'hui, les flottes d'entreprise comptent 96 % de véhicules diesel. Les 4 % de véhicules à essence bénéficieront certes, dès le 1er janvier prochain, de 20 % de déduction, mais notre préoccupation n'est pas tant de subventionner les parcs existants que d'inciter à l'achat de véhicules à essence. Avec un délai de deux ans, sans doute le signal serait-il plus fort.