C’est en 2013 que j’ai défendu l’amendement sur la transparence des holdings financières : il a été accepté alors par M. Pierre Moscovici, sous la condition que le vent soit favorable à l’échelle européenne. Le moment est venu. Reculer, ce ne serait pas aider nos entreprises, mais poursuivre dans une économie de l’obscurité qui autorise toutes les perversions, toutes les tricheries et handicape l’économie réelle.