Mais nous pouvons tous nous mettre d’accord sur l’essentiel.
Premièrement, l’ennemi commun, c’est Daech, et la coalition, unique ou coordonnée, doit avoir pour seul objectif de détruire cette organisation qui nous mène une guerre effrayante. Chacun doit se sentir concerné, et c’est le sens de toutes les initiatives diplomatiques en cours, à Vienne et à New York, auxquelles évidemment la France participe.
Deuxièmement, il faut que les choses soient claires : s’il y a une aide de l’Union européenne s’agissant des réfugiés, il n’y a pas pour autant de contrepartie ou je ne sais quel troc. J’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le sujet.
Troisièmement, et le secrétaire d’État chargé des affaires européennes le rappelait, les chapitres ouverts avec la Turquie l’ont été au cours du quinquennat précédent.