Monsieur le député, je comprends votre passion. Vous représentez les Français de l’étranger, notamment ceux qui résident en Israël. Je connais votre attachement, partagé, à l’État d’Israël, que vous avez décrit comme une démocratie qui lutte contre le terrorisme, et je n’ai rien à y redire : c’est en effet juste.
Il y a aussi d’autres débats, dans cette assemblée et ailleurs, qui portent sur la colonisation, que le Gouvernement condamne, vous le savez, et sur la nécessité impérative qu’un dialogue se noue pour que deux États puissent vivre côte à côte, en paix, avec des frontières reconnues.