Si nous voulons vraiment lutter contre l'influence nocive de la publicité sur les jeunes enfants, nous ne pouvons pas nous contenter d'une interdiction sur les chaînes les moins regardées pour les programmes destinés à la jeunesse, alors que des chaînes comme TF1 ou Gulli regorgent de publicités et vont en accueillir encore plus si on l'interdit sur France Télévisions. L'amendement étend donc la portée du chapitre II à l'ensemble des services de communication audiovisuelle.