Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. J’espère toutefois que vous observerez avec vigilance l’évolution des aides qui doivent permettre de maintenir les hôpitaux ruraux.
Compte tenu de la fragilité de leur situation, les médecins ruraux ne pourront pas continuer à assurer les urgences. Il serait cependant préférable que les hôpitaux ruraux se chargent des premières interventions, puisque le CHU de Nice est déjà surchargé. Je le répète : je compte sur la vigilance de l’ARS.