Pour ce qui concerne la mobilisation, nous avons fait le lien entre l'intérieur et l'extérieur. Ceux qui participent à la négociation ont créé les comités qui avaient le projet d'organiser la marche du 29 novembre. La marche s'est transformée en chaîne humaine où nous avons envoyé une délégation de représentantes des peuples autochtones. Malheureusement, cela s'est mal fini dans certains endroits.
Nous attendons maintenant la fin de la première semaine et la sortie du premier texte. Si les notions de genre et de droits humains y figurent, nous nous mobiliserons pour que les politiques les maintiennent. Si elles n'y figurent pas, nous manifesterons à l'intérieur même de la zone bleue pour dire : « Cela suffit maintenant ! ». Il faut que ces notions soient inscrites dans l'accord qui sera conclu dans quinze jours. (Applaudissements.)