Bien avant la mise en place de l’état d’urgence, nous savions déjà que la radicalisation posait un problème crucial dans notre société, et plus particulièrement dans le monde carcéral. Après les attentats de janvier 2015 et ceux du 13 novembre, il s’avère essentiel de prendre en charge les personnes radicalisées ou en voie de radicalisation, notamment dans les prisons.
La situation est effectivement inquiétante, d’autant plus que ce phénomène ne touche plus une seule catégorie de population. La promiscuité dans les prisons permet à certains détenus déjà radicalisés d’exercer une pression et une influence sur des personnes fragiles afin de les emmener sur la voie de la radicalisation.
Alors que le manque de places dans les établissements pénitentiaires est avéré, quel système pensez-vous instaurer afin que cette prise en charge soit réelle et efficace ?