Les informations requises pour que les entreprises puissent réaliser leurs diagnostics et engager au mieux les démarches de substitution relèvent en fait de deux thématiques différentes : un appui en scientifique et technique sur les dangers, et un accompagnement réglementaire sur les outils financiers mobilisables. Il convient donc d’ajouter à l’INERIS, qui est chargé de cette information à l’article 1er, d’autres institutions comme l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles ou la Banque publique d’investissement. Cet amendement me paraît renforcer globalement la démarche proposée dans ce texte.