Monsieur le président, monsieur le président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, madame la rapporteure, mesdames et messieurs les députés, je suis très sensible à votre démarche et je partage votre préoccupation de limiter les effets de la pression publicitaire sur les enfants.
Cependant, je ne suis pas convaincue que cette proposition de loi, telle qu’elle a été votée par le Sénat, soit le bon moyen d’y parvenir, et ce pour plusieurs raisons. Je me réjouis donc des améliorations apportées par la commission des affaires culturelles et de l’éducation.