J’ai bien entendu les difficultés concernant le franco-provençal et le flamand occidental, qui devra en effet être reconnu. Le ministère de l’éducation nationale, que j’avais contacté en tant que président d’association de parents d’élèves puis en tant que député, pour obtenir l’enseignement des langues régionales, laisse traîner ce sujet depuis une bonne dizaine d’années. Cela relève pourtant bien du pouvoir réglementaire.
Sur ce sujet que, hélas, je n’épuiserai pas tant nous avons à faire, après la franche hostilité que nous avons connue par le passé, nous parvenons aujourd’hui, étape par étape, à une reconnaissance. Il reste cinq pas, que je vous remercie de parcourir avec moi.