Certaines d’entre elles veulent manifester cet attachement à travers différents systèmes d’enseignement. S’agissant de la langue bretonne en particulier, un tel dispositif a, à un moment donné, existé. Hélas, pour des raisons quelque peu circonstancielles, l’association Diwan, qui gérait une école à Paris, que notre président de séance, moi-même et d’autres connaissions bien, a dû – nous sommes nombreux à le regretter – cesser son activité.
Je souhaitais que ce sujet soit, d’une manière ou d’une autre, abordé, sachant qu’en Île-de-France, finalement, beaucoup de personnes sont sensibilisées à ces questions.