La sécurité numérique doit également passer par une protection renforcée des informations échangées dans le domaine professionnel, notamment pour les métiers dans lesquels le secret professionnel fait déjà l’objet d’une protection juridique. Je pense notamment aux avocats, aux journalistes, aux magistrats, aux notaires : il conviendrait d’étendre cette protection à leurs communications et correspondances électroniques.
Le Gouvernement a ouvert le champ des possibles en rédigeant ce projet de loi pour une République numérique. C’est un programme ambitieux, ô combien nécessaire ! À nous maintenant de l’enrichir dans le cadre du débat parlementaire, afin de lui donner l’envergure qu’il mérite dans notre société moderne.