Cet amendement, que j’ai défendu en commission, tire son origine d’un constat que j’ai encore fait en lisant l’étude d’impact et la version initiale de ce projet de loi. L’internet fait l’objet dans les textes officiels de quatre désignations différentes : « l’internet » donc, mais aussi « l’Internet », « internet » et « Internet », soit deux noms propres et deux noms communs.
Puisque nous sommes Français, donc cartésiens, nous devrions pouvoir être d’accord sur le fait qu’il est illogique de désigner la même réalité de quatre manières différentes. Il ne serait pas complètement contraire à nos traditions d’essayer de respecter la logique de la langue française, qui impose de désigner ce qui est un bien commun et universel par un nom commun, soit l’internet.
Ce n’est pas considérable. Il s’agit simplement d’essayer d’introduire de la logique dans les futurs textes officiels.