Nous, députés du groupe Les Républicains, aux côtés des associations familiales, nous vous avions pourtant alerté sur les conséquences de vos mesures anti-familles sur la confiance des familles et sur la natalité. En effet, même si le lien avec le taux de fécondité n’est pas mécanique, on ne peut nier l’effet positif des politiques d’aide à la famille sur la natalité. Pour preuve, lorsque le taux de fécondité avait dramatiquement chuté en 1994, c’est une politique familiale volontariste, basée sur des mesures permettant de concilier vie familiale et vie professionnelle, qui a permis d’inverser la tendance en redonnant aux familles confiance et stabilité.
Monsieur le Premier ministre, la baisse de notre natalité ne doit pas s’inscrire dans la durée. Quel message positif comptez-vous enfin adresser aux familles de France ?