Elle permet à la France de conserver un taux de natalité extrêmement élevé et un taux d’activité professionnelle des femmes que les autres pays d’Europe nous envient.
C’est d’abord dans les modes d’accueil que la France investit. Le budget des allocations familiales consacré aux modes de garde augmente et continue d’augmenter chaque année de 7 %. Nous n’avons pas renoncé à équiper l’ensemble des communes, dans les territoires ruraux comme dans les territoires urbains, de modes d’accueil pour les enfants de moins de 3 ans. De même, nous avons développé l’accueil des enfants à l’école dès 2 ans.
Par ailleurs, la politique familiale que nous conduisons est juste, redistributive et équitable. Nous avons fait le choix de la réorienter en faveur des familles les plus modestes, et particulièrement en faveur des familles monoparentales, qui sont incontestablement celles qui souffrent le plus aujourd’hui. C’est pourquoi nous avons augmenté le complément familial, l’allocation de soutien familial, l’allocation de rentrée scolaire, et que nous généralisons la garantie des impayés de pensions alimentaires pour les mères dont les ex-conjoints défaillants n’assurent pas l’éducation des enfants. Voilà une politique familiale qui produit des résultats !
Enfin, vous faites des extrapolations sur le lien entre la politique familiale que nous conduisons et la baisse de la natalité.