Or, d’une part, il arrive, s’agissant du phénomène dont nous traitons, qu’elle apprenne très tardivement la diffusion des images concernées.
Et, d’autre part, la frontière entre espace public et espace privé est assez floue. Nous avons voulu en effet que soit reconnu ledit phénomène. S’agissant de la question de l’échelle des peines, je me rangerais plutôt à l’avis de Mme la secrétaire d’État : les alourdir à chaque fois, dans chaque texte, devient problématique.