Peut-être cela permettrait-il de relancer l’idée de ce centre relais téléphonique, que tant d’autres pays ont mis en place et qui est tant attendu par nos concitoyens.
Cela ne concerne pas que les malentendants ou les sourds : il s’agit de faciliter les échanges entre entendants et malentendants. À cela s’ajoute la nécessité de favoriser l’insertion professionnelle de ces derniers. Je ne comprendrais pas qu’après dix années de rapports et de tergiversations, on refuse d’aller dans cette direction.
Faute de grives, on mange des merles : voilà, à peu près, à quoi correspond cette demande de rapport.